Fishbach "A Ta Merci"
Fishbach
lexpress.fr
2014
Invisible désintégration de l'univers
Pas de questions nous qui lisons le grand tableau noir
Pas de questions nous qui savons déchiffrer le tableau noir
Encore un tour et après on changera d'accord
Le silence du soleil dessine des ombres immenses
Et peu à peu certains d'entre eux entrer dans la danse
Hypnotique sensation du vide grandissant
Quelle est ta dernière volonté avant de connaître
Les mystères de cette lumière qui va disparaître
Invisible désintégration de l'univers
2015
Mortel
Parachutiste, de toi, serai-je la cible? Puis dans mes disques, vise au hasard, au pire. Tu tomberas sur mes caprices pénibles
Vise-moi encore, en sémaphore, j'existe. Jamais rien vu d'aussi mortel que ces tirs au hasard, Je viendrai demain aux nouvelles à la lueur du phare. Jamais rien vu d'aussi mortel que ces tirs au hasard... Jamais rien vu d'aussi mortel que ces tirs au hasard, Je viendrai demain aux nouvelles à la lueur du phare. Jamais rien vu d'aussi mortel que ces tirs au hasard... Laisse toi faire, voguer en elle, propice J'ai de quoi faire, les jambes en l'air, bionique. Mes bras de mère m'offrent de faire l'artiste. Tirer en l'air, j'vais t'faire un authentiste. Jamais rien vu d'aussi mortel que ces tirs au hasard, Je viendrai demain aux nouvelles à la lueur du phare. Jamais rien vu d'aussi mortel que ces tirs au hasard... Jamais rien vu d'aussi mortel que ces tirs au hasard, Il sera demain aux nouvelles à la lueur du phare. Jamais rien vu d'aussi mortel que ces tirs au hasard... Parachutiste, de toi, serai-je la cible? Vise-moi encore, en sémaphore, j'existe! Jamais rien vu d'aussi mortel que ces tirs au hasard, Je quitterai dès demain ces terres sans vous dire au revoir. Jamais rien vu d'aussi mortel que ces tirs au hasard... Jamais rien vu d'aussi mortel que ces tirs au hasard, Je te rejoins demain en l'air il n'y a pas de hasard. Jamais rien vu d'aussi mortel que ces tirs au hasard...
2016
" A Ta Merci "
Aux formes du linceul
La poussière et le vent
Je ne resterai pas seule
À regarder les fleurs
Tout au long du printemps
Si je demeure à ta merci
Il n’y a pas l’ombre d’un souci
Je tombe
Quand tu simules
T’es sans merci
D’ailleurs je ne te dis pas merci
La honte
Tu joues à la marelle
Mais n’atteins pas le ciel
Moi je n’ai plus vingt ans
Ces visions dévorantes
Ressemblent à la mort lente
J’irai plus tard là bas, crois-moi
Si je demeure à ta merci
Il n’y a pas l’ombre d’un souci
Je tombe
l' album