Suite de Fibonacci
Vers 1200 à Pise, le mathématicien Leonardo Fibonacci, dit Léonard de Pise, décrit la croissance d'une population de lapins. De cette observation naît une suite de nombres appelée « suite de Fibonacci », qu'on retrouve également dans la structure de l'ananas, la fleur de tournesol, la croissance des feuilles d'une plante... et dans les œuvres des artistes de la Renaissance.
vidéo explicative
http://www.universcience.tv/video-les-nombres-de-fibonacci-5017.html
( 1175-1250 )
La suite de Fibonacci est une suite d'entiers dans laquelle chaque terme est la somme des deux termes qui le précèdent. Elle commence généralement par les termes 0 et 1 et ses premiers termes sont : 0, 1, 1, 2, 3, 5, 8, 13, 21, etc.
On retrouve cette suite dans la nature
Coquille de Nautilus
Cacté
Dans la musique
Noir puis blanc étaient tout ce que je voyais dans ma petite enfance
Puis le rouge et le jaune sont apparus, m'ont été révélé
Me permettant de voir
En-dessous, au-dessus et au-delà, j'imagine
Attiré au-delà des lignes de la raison
Je presse l'enveloppe. Je la vois se tordre
Trop penser, trop analyser sépare le corps de l'esprit
Ca altère mon intuition, je manque des occasions et je dois
Alimenter ma volonté pour sentir mon instant se frayer un chemin En dehors des lignes
Noir puis blanc étaient tout ce que je voyais dans ma petite enfance
Puis le rouge et le jaune sont apparus, m'ont été révélé
Me permettant de voir
En-dessous, au-dessus et au-delà, j'imagine
attiré au-delà des lignes de la raison
Je presse l'enveloppe. Je la vois se tordre
Trop penser, trop analyser sépare le corps de l'esprit
Ca altère mon intuition, je ne profite pas des occasions
Alimenter ma volonté pour sentir cet instant me pousse à franchir la limite
Je me revèle pour saisir tout ce qui peut arriver
Je me Révèle Pour saisir Mon Destin
Je saisi mon désir de
Sentir le rythme, de me sentir assez relié pour m'écarter et pleurer comme une veuve
De me sentir stimulé pour sonder le pouvoir, pour voir la beauté,
Pour me baigner dans la fontaine,
Pour me balancer sur la spirale
Pour me balancer sur la spirale
Pour me balancer sur la spirale de notre divinité et rester quand même humain
De Notre Divinité et rester un humain
Les deux pieds sur terre, je me déplace entre les sons la bouche grande ouverte pour l'engloutir
Je la sens se déplacer sur ma peau
Je lève le bras, je tends le bras. Je me saisis du destin ou de tout ce qui pourra me sidérer
Tout ce qui pourra me sidérer
En suivant notre volonté et le vent il se peut que l'on arrive là où personne n'a été
Nous enfourcherons la spirale à jamais et il se peut l'on arrive là où personne n'a été
Et on suis le vent pour qu'il nous emporte ou personne n'a été
On Part en spirale jusqu'à la fin et juste aller ou personne n'a été
On part en spirale. On ne s'arrête plus