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Par Paulo8938 le 25 Novembre 2013 à 07:54
Début Septembre nous sommes retournés en famille compléter la visite de Crémieu commencée fin juin.
( Trois articles déjà édités)
La ville était en plein préparatifs en vue des "médiévales 2013".
http://alpes.france3.fr/2013/09/08/cremieu-isere-se-plonge-dans-le-moyen-age-314541.html
Septembre 2013
Septembre 2013
A l' hôtel de ville la salle du chapitre, servait de vestiaire pour les participants au défilé des médiévales.
Jour de marché Halle de Crémieu
net
Septembre 2013
A gauche les mesures à grains
Septembre 2013
Septembre 2013
La Charpente en chêne supporte une couverture en calcaire de 400 tonnes.
L' église ancienne chapelle du couvent des Augustins
Septembre 2013
Fresques
Septembre 2013
Septembre 2013
Ballade dans les rues
Septembre 2013
Le château Delphinal XII-XIII ème siècle
Septembre 2013
Septembre 2013
Vieilles demeures
Septembre 2013
La fenêtre des trois pendus
Cette très belle fenêtre du XIVème siècle a donné naissance à de nombreuses légendes. La maison avait été habitée, dit-on, par la nourrice dont l'imprudence coûta la vie au jeune héritier d'Humbert II, dernier Dauphin.
Une autre "histoire" est celle du cordier qui pendit à sa fenêtre, parce qu'il les jugeait trop entreprenants auprès de ses filles, deux jeunes gens, dont le fils du seigneur. Ce dernier se vengea et le père bafoué fut pendu a son tour entre les deux victimes, d'où le nom de fenêtre des trois pendus
Septembre 2013
Anciennes échoppes
Septembre 2013
Septembre 2013
Septembre 2013
Porte Quirieu
http://medieval.mrugala.net/Architecture/France,_Isere,_Cremieu/Cremieu%20-%2039.htm
A suivre.....
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Par Paulo8938 le 22 Novembre 2013 à 11:50
Joseph Ferdinand Cheval
1836-1924
Plus connu sous le nom du facteur Cheval, il est né en 1836 à Charmes-sur-l'Herbasse ( 26 ). C'est un facteur, célèbre pour avoir passé 33 ans de sa vie à édifier un « Palais idéal» et huit années supplémentaires à bâtir son propre tombeau, tous deux considérés comme des chefs-d'œuvre d'architecture naïve à Hauterives Drôme, où il décède en 1924.
Un jour d’avril 1879, au retour de sa tournée quotidienne de facteur rural, Ferdinand Cheval, qui a alors 43 ans, bute sur une pierre si bizarre qu’elle lui rappelle un rêve qui sombrait peu à peu dans l’oubli : un rêve féérique dépassant son imagination. Il va consacrer 33 années de son existence à modeler, nuit après nuit, un monument d’obstination.
La brouette
Son tombeau
Le Tombeau du silence et du repos sans fin
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Par Paulo8938 le 1 Septembre 2013 à 08:37
Vue aerienne
Le Village
Situé à deux kilomètres au nord de Romans, Mours est accessible par la route départementale 538, vieille route dite " des dauphins " dont l'usage remonte à la plus haute antiquité, reliant Vienne à Marseille. Du village émerge le vieux clocher, à l'aspect un peu trapu, différent des clochers des alentours.
Le site est bâti au pied de collines molassiques, bordant la vallée de l'Isère. Le mot MOURS contient l'idée de marais, autrefois présents, quand le torrent capricieux de la Savasse, roulait ses eaux de PEYRINS jusqu'à Jacquemart et l'Isère, à ROMANS.La Mairie
Notre Dame de Mours
L' Art Sacré
http://museeartsacre.free.fr/presentation.html
Vierge au mouchoir
Saint Jean
L'Eglise romane du village de Mours-St-Eusèbe accueille une collection exceptionnelle de quelque 25.000 objets, du XIVe au XXe siècle, de la vie religieuse et profane, sauvés de la destruction ou de l'oubli par le Père des Cilleuls .
Rassemblés depuis plus de cinquante ans, les plus modestes objets de la piété populaire aux plus somptueux objets de culte témoignent tous de la même foi, du même amour du métier qui anima leurs créateurs, artistes, artisans, religieux ou civils...
Statues, autels et retables, tableaux, livres, orfèvrerie, reliquaires, ex-voto, vêtements aux soieries et broderies raffinées…, sont exposés dans le chœur, la sacristie et les chapelles.
Cette collection diocésaine, qui a obtenu la reconnaissance de la Direction des Musées de France, est inestimable : elle donne un aperçu sur l'étendue du domaine religieux, ses fonctions, les règles auxquelles il obéit, la vie qu'il met en place, les échanges entre espace sacré et espace profane.
Père Raoul des Cilleuls
Curé de Notre Dame De Mours
Un premier Septembre il célébra notre mariage
1924 - 2010
Connu et aimé de tous, croyant ou non sa disparition n' a laissé personne indifférent.
Missels en ivoire
http://www.liturgiecatholique.fr/Musee-diocesain-d-Art-Sacre-de.html
Le chevet de Notre Dame de Mours- St- Eusèbe
De l'édifice élevé au XIe siècle, il ne reste que la tour et le mur méridional.
Le Clocher
Pierre à Cupules
Descendue du coteau de Mours, elle témoigne d'un culte païen. La légende nous dit que la colline de Saint-Eusèbe fut le rendez-vous des sorciers... Elle a révélé des traces d'un culte païen, puis d'un premier culte chrétien avec une chapelle dédiée à Saint-Eusèbe.
Chapelle romane
Maison forte de Chalaire
Avec son donjon de quatorze mètres de haut, la maison forte de Chalaire, est mentionnée dès le 11ème siècle dans le cartulaire de Saint-Barnard. Au delà de sa longue histoire, la notoriété de cet édifice est liée aux séjours du Dauphin Louis II (futur Louis XI) qui, au 15ème siècle, entre 1450 et 1455, y signa plus de vingt ordonnances concernant la gestion du Dauphiné.
La rue principale (années 30)
Mours c'est aussi
Petite ballade dans les coteaux de Mours
Statue de la Vierge érigée au sommet des coteaux de Mours
(au sommet très belle vue sur la plaine de Romans et le Vercors)
Le Vercors
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Par Paulo8938 le 9 Août 2013 à 09:02
internet
Montagne de Crussol
Crussol, c'est un massif et un château. C’est une petite montagne étirée sur trois kilomètres du Nord au Sud. Elle représente une ligne de crêtes assez régulière dont l’altitude passe progressivement de 306 à 406 mètres.
Crussol est l' un des sites des plus grandioses de la vallée du Rhône.
St Peray Ardèche
A 5 km de Valence, au pied de la colline de Crussol, en bordure de la vallée du Rhône, Saint-Péray est depuis toujours un lieu de passage entre la montagne ardéchoise et la plaine de Valence.
Les habitants de Crussol ont successivement abandonné la "Villette" pour aller peupler, dans le bas du vallon, la ville de Saint-Péray,Château de Crussol forteresse médiévale du XII ème siècle.
Giraud Bastet de Crussol
Bastet de Crussol choisit d' établir en ce lieu son château fort.
L' ambition des " petits sires de Crussol " les élève aux charges les plus hautes du royaume.
Un Crussol sera chambellan de Louis XI , un autre par son mariage, deviendra l' héritier des Comtes d' Uzès.
Petit à petit les Crussol s' éloignent de l' incommode forteresse ancestrale, qui sera en partie abattue au 17 ème siècle .
Ils s' établissent au château d' Uzès.
En 1785, selon la tradition, Bonaparte en garnison à Valence réussit, avec l' un de ses frères, à faire l' ascension de Crussol par la falaise, au péril de sa vie.
Gravure de 1842
La Villette
On accède aux ruines du Château en traversant les vestiges d' une centaine de maisons qui constituaient le refuge des habitants de la plaine en périodes troubles.
Le Château
Photos camping-car.eu.com
Photos Wikipédia
Kiosque Peynet (Valence) et Crussol
C’est ici, en 1942, que le dessinateur Raymond Peynet mit au monde ses fameux Amoureux, immortalisant ainsi la scène qui se déroulait sous ses yeux : une femme et un violoniste, s’ aimant passionnément sous ce kiosque. Le kiosque Peynet offre une vue romantique sur les montagnes ardéchoises et les ruines du château de Crussol.
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Par Paulo8938 le 4 Août 2013 à 10:37
Une spécialité de Valence (Drôme)
07/2013
Un suisse fait maison par Gilbert à Mours St Eusèbe (26)
Le suisse de Valence est un biscuit sablé à base de pâte sablée et d’écorces d’orange, de l’apparence d’un bonhomme trapu (vendu en différents formats), revêtu d’un costume de garde suisse.
Beurre, sucre, farine, œufs, écorces d’orange confite, parfum à la fleur d’oranger entrent dans la composition d’une pâte homogène, coupée en pâtons, façonnés en bonhommes. Un peu de pâte est conservée pour la décoration : un demi-cercle pour le chapeau, des petites boules pour le nez, le menton, les boutons, des bandes pour les bras, le corps et les pieds, un petit filet pour les moustaches… Le tout, pouvant être agrémenté de raisins de Corinthe pour les boutons, est badigeonné d’un mélange œuf-miel et enfourné à haute température.
Parfois un peu « compact », mais toujours fondant, ce plaisir des enfants reste aussi un régal pour les grands qui le dégustent volontiers au café…
Ce biscuit rappelle un épisode de l’histoire de la préfecture de la Drôme : le pape Pie VI, envoyé en exil à Valence par le Général Bonaparte, y décéda en 1799. Il s’écoula deux années avant que le retour de sa dépouille à Rome ne soit autorisé… Durant ce laps de temps, un détachement de Gardes Suisses veilla les reliques du patron de l’église catholique.
Auteur F. Zégierman, relecture Keldélice.
http://www.marmiton.org/recettes/recette_le-suisse-specialite-de-valence-drome_37156.aspx
Le dauphiné libéré (2008)
Suisse géant fabriqué à l' occasion de la sortie du film d' animation
Mia et le Migou
(studio folimage de Bourg- lès- Valence 26)
présentation du film :
« Un produit du terroir perdure lorsqu’il se marie bien avec un autre produit local. C’est le cas du Suisse, délicieux avec un verre de Saint Péray ou de Clairette de Die »
Saint Péray, vignoble
Ardèche
Vignoble du Diois Drôme
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Par Paulo8938 le 1 Juillet 2013 à 08:49
Les remparts sur la colline St Hyppolite
Deux vues aériennes du prieuré Saint-Hippolyte
Dominant la ville à l'est, depuis le XIIe siècle, le prieuré bénédictin Saint-Hippolyte était relié aux fortifications de Crémieu. Rattaché à l'abbaye de Saint-Chef en 1247, il ne tarda pas à être délaissé. Dès le début du XVe siècle, la chapelle fut désaffectée et le prieuré utilisé comme ferme.
Le chemin escalier montant au prieuré
21/06/2013
Tour carrée de l' entrée du prieuré
21/06/2013
internet
Mortier de 240 mm (1917) vestige de la grande guerre.
21/06/2013
21/06/2013
Tour ronde des remparts
vestiges de l'ancien couvent (ruiné par le baron des Adrets).
François de BEAUMONT, BARON des ADRETS 1513-1587 :
http://www.museemilitairelyon.com/spip.php?article32
21/06/2013
Tour à fenêtres des remparts
21/06/2013
21/06/2013
Une petite pause avant de redescendre à la ville basse
21/06/2013
Vue panoramique sur la cité
21/06/2013
Une dernière halte devant l' hôtel de ville pour déguster la spécialité de Crémieu :
La Foyesse
http://www.recettes-online.fr/dessert/regional/3-952-99-tarte-sucre-foyesse-cremieu.html
21/06/2013
Et nous quittons la cité médiévale en repassant sous
la porte de la loi
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Par Paulo8938 le 29 Juin 2013 à 08:59
Wikipédia
L'église fortifiée de Crémieu
21/06/2013
L’église et ses fresques augustiniennes
C’est l’ancienne chapelle du couvent des Augustins. A la Révolution, en 1791, lorsque tous les bâtiments conventuels furent rachetés, elle devint église paroissiale. Construite à partir du 14e siècle et adossée aux remparts, elle a la particularité d’être orientée sud nord. Au 15e siècle, une deuxième période de construction vers le nord va être entreprise. Elle connaîtra une succession de modifications jusqu’au 19e siècle notamment le plafond initialement en chêne lambrissé sera remplacé par des voûtes néogothiques. Dernièrement, des peintures augustiniennes dans le chœur de l’église ont été mises à jour. De l’avis des experts italiens venus les étudier, elles constituent un ensemble pictural unique en France !
21/06/2013
Les fresques
21/06/2013
photo internet
http://medieval.mrugala.net/Architecture/France,_Isere,_Cremieu/Cremieu%20-%2010.htm
21/06/2013
Dans une chapelle latérale, la statue du Saint curé d’Ars
Le 8 mai 1786 , Jean-Marie Vianney naît à Dardilly, près de Lyon.
Il est le quatrième de six enfants, et passera son enfance dans la
ferme de son père, durant la période troublée de la Révolution
française. 1806 : ayant manifesté le désir de devenir prêtre,
Jean-Marie Vianney commence sa formation auprès de l’Abbé
Balley, au presbytère d’Écully. 23 juin 1815 : après une formation
longue et souvent difficile, il est ordonné diacre à Lyon. 13 août
1815 : il est ordonné prêtre à Grenoble par Mgr Simon. Il est alors
nommé vicaire de l’Abbé Balley à Écully. 13 février 1818, il arrive à
Ars comme desservant. 1821 : Ars retrouve le statut de paroisse et
Jean-Marie Vianney en devient le Curé. À partir de 1822, il
entreprend de restaurer et d’embellir son église, tâche qu’il
poursuivra jusqu’à sa mort. 1823 : le diocèse de Belley, dont
dépend la paroisse d’Ars, est rétabli. 1824 : il ouvre la Maison de
Providence pour en faire une école gratuite pour les filles ; elle
deviendra plus tard un orphelinat. Vers 1830 : début de l’afflux des
pèlerins et des pénitents à Ars. Ils ne cesseront de venir toujours
plus nombreux, et ce jusqu’à sa mort. Le Curé d’Ars ne pourra
presque plus quitter sa paroisse, il s’occupera exclusivement de
ses paroissiens et des pèlerins. 1843 : grave maladie du saint
Curé, qui précède la première “fuite” d’Ars. Il y aura trois autres
fuites, face à l’ampleur de la charge de Curé et la prise de
conscience de ses faiblesses. En 1849, il fonde l’école des
garçons qu’il confie aux Frères de la Sainte Famille de Belley. À
partir de 1853, une équipe de missionnaires diocésains vient aider
le saint Curé, “prisonnier” du confessionnal et assailli par les
pèlerins. 1858 : on dénombre 100 000 pèlerins environ cette
année-là à Ars. Le Curé d’Ars passe jusqu’à 17 heures par jour au
confessionnal. 4 août 1859 : le Curé d’Ars meurt épuisé vers 2
heures du matin, dans son presbytère. 8 janvier 1905 :
béatification par le pape Pie X ; il est déclaré “patron des prêtres
de France”. 31 mai 1925 : canonisation par le pape Pie XI. 1929 : il
est déclaré “patron de tous les Curés de l’univers” par le pape Pie
XI. 6 octobre 1986 : le pape Jean-Paul II vient en pèlerinage à Ars.
La halle de Crémieu
21/06/2013
Située à la croisée des grandes voies de commerce reliant la Savoie, la Suisse et l'Italie, Crémieu a, dès le XIIIe siècle, une grande importance économique. Un marché public se tient sur les hauteurs de la ville avant d'être implanté à l'emplacement de la halle actuelle. Lieu marchand et lieu d'échanges, cet édifice est l'un des plus importants de France par ses dimensions (60,80 m par 19,50 m). Classée monument historique en 1906, la halle a probablement été construite au début du XVe siècle (1434), comme l'indique une récente analyse des bois de charpente. Emblème de la ville, la halle n'a pas changé d'aspect ni de fonction depuis plus de cinq cents ans. Elle est divisée en trois nefs par des murs-bahuts, percés de passages piétonniers.
21/06/2013
La charpente en chêne supporte une couverture de laves de Bourgogne - elles ont récemment remplacé les "couvrures"
anciennes - de quatre cents tonnes !
les pierres plates ou lauzes s'appellent dans ce canton du Dauphiné des "couvrures".
internet
A l' extrémité Est de la halle se trouvent des mesures à grain en pierre de taille, de contenances diverses calibrées avec précision selon les unités traditionnelles de mesure : le bichet (19,5 litres), la bichette (un demi-bichet), l'émine (deux bichets) et le setier (quatre bichets).
21/06/2013
Les mesures à grain
21/06/2013
En resortant de la halle nous appercevons la tour ronde des remparts, prochaine étape de notre visite .
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Par Paulo8938 le 27 Juin 2013 à 09:50
Crémieu
Plan de Crémieu
Crémieu a conservé sa cité médiévale. Les habitants sont appelés les Crémolans et Crémolanes. La ville est située au nord-ouest du département, à 15 km au nord de Bourgoin-Jallieu, et environ 40 km à l’ est de Lyon .
La ville a gardé de nombreuses maisons anciennes (XVIe-XVIIIe siècles), de beaux restes de fortifications (portes du XIVe siècle, segments de murailles), de vastes halles couvertes (XVe siècle), et le couvent des Augustins ( dont le cloître est intact) ce couvent sert de mairie depuis la Révolution Française.
Le château delphinal domine la ville côté Est, tandis que les ruines d'un prieuré fortifié couvrent toute la colline Saint-Hippolyte à l' Ouest.
21/06/2013
La porte de la loi
21/06/2013
Le château delphinal
Nous accédons à la cité en empruntant cette porte de la loi .
21/06/2013
Ensemble de maisons à échoppes
21/06/2013
La montée au château des dauphins sur la colline St Laurent, offre une jolie vue sur les toits de la ville, et sur la colline St Hypolite. Située à la frontière entre le Dauphiné et les Savoie, la châtellenie de Crémieu joue un rôle militaire important. Face au château, un prieuré de bénédictins, entouré de ses propres fortifications, se trouve au sommet des falaises de Saint-Hippolyte.
21/06/2013
Le château Delphinal XII-XIII ème
(il ne se visite pas)
Restauré essentiellement au 19e siècle, c’est l’ un des lieux les plus chargés d’ histoire de la ville. Le premier château construit au 12e siècle est réédifié par les Dauphins de La Tour à partir de 1282. Chef-lieu de mandement aux portes du Dauphiné, Crémieu est abritée et protégée, à l’ intérieur de ses fortifications par le château delphinal installé sur la colline Saint-Laurent. Suite au Traité de Lyon de 1601 qui met fin à la lutte engagée entre le Dauphiné et la Savoie, le château connaît une longue période de détérioration. A partir de la Révolution, il appartiendra à des propriétaires privés et sera restauré en partie à partir de 1904.
internet
internet
21/06/2013
Nous redescendons à la ville basse
21/06/2013
Ancien couvent des Augustins devenu l'hôtel de ville à la révolution
Fondé vers 1317 par les Dauphins de la Tour, le couvent des Augustins est resté le monument le plus prestigieux de la ville de Crémieu, malgré les nombreuses altérations subies par l' édifice après la Révolution.
Entrons dans l'hôtel de ville
21/06/2013
Le chauffoir
Il s'agit d'une cuisine. Elle présente quatre croisées d'ogives retombant sur un pilier central et conserve une cheminée monumentale installée au XVII ème siècle.
21/06/2013
La salle du chapitre
(salle du conseil municipal)
C'est le lieu de réunion du chapitre. On y traite des problèmes matériels de l'ordre. Le plafond peut-être daté de la fin du XIVe ou du début du XVe siècle.
21/06/2013
cartesfrance.fr
Le cloître du couvent des Augustins XVII ème
Le cloître appartient aux travaux de reconstruction entrepris par les religieux vers 1640, après l' effondrement accidentel d'une partie des bâtiments. Les galeries sont pavées de dalles funéraires provenant de l'église et ornées de l' emblème des Augustins, le coeur, ou des emblèmes propres aux différentes corporations de la ville.
Fin de la première partie !
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Par Paulo8938 le 9 Juin 2013 à 15:01
Pérouges
Pérouges est située à 36 kilomètres au nord est de Lyon. C'est une ancienne cité de tisserands, dont la double enceinte de remparts a pu être restaurée. L'architecture interne est typique de l'époque du Moyen Âge avec des demeures datant XVe et XVIe siècles, mais également des rues en galets et une église fortifiée.
Pour la visite prévoir des chaussures plates !
Vue aérienne
La porte d' en haut
L' église Sainte-Marie-Madeleine
Elle se situe à proximité immédiate de la porte d'en haut, et est connexe au mur d' enceinte de la cité. Cela lui vaut d'ailleurs la dénomination d'« église-forteresse ».
L' église forteresse
Aôut 2009
Saint Georges, St patron de Pérouges
Août 2009
Rue des Rondes
Maison du Cadran Solaire
« Je ne te marquerai que l'heure des beaux jours ».
L'hostellerie
Août 2009
La Halle
Août 2009
La maison des peintres
La boulangerie
La tarte ou galette au sucre, spécialité de Pérouges
La maison du petit St Georges
Août 2009
Août 2009
Une fleur de la passion
Porte d'En-Bas
elle est située le long de la rue des Rondes.
La cité de Pérouges a été une ville d'artisans pendant le Moyen Âge. Les principales ressources étaient issues de la culture et du tissage de la toile. Maintenant elle vit exclusivement du tourisme.
Se trouvant à seulement 63 km de Bourgoin nous l' avons visité plusieurs fois, on ne s'en lasse pas, et quand en plus il y a une bonne part de galette.......
Bonne visite
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Par Paulo8938 le 26 Mai 2013 à 09:26
Artas est situé à 15 km de Bourgoin
en NORD Isère
Le village
L'église au deux clochers
Cette construction est citée en 1095. Le prieuré Saint-Pierre est connu en 1190. Il dépendait de l'abbaye de Cluny. En 1864, les deux chapelles latérales ont été reconstruites ; en 1899, on installe sur la façade un clocher néo roman à côté de l'ancien. Aujourd'hui, le prieuré a été transformé en mairie et école.
Les galères de Louis XIV
Sous le règne de Louis XIV, les chênes renommés de la forêt d'Artas fournissaient en grande partie les bois de marine des galères du roi à Marseille.
La Réale
Les galères dans le port et la rade de Marseille, Atlas de 1584
Le village d' Artas revendique être le « berceau de la fête des Mères ». En effet le 10 juin 1906 à l'initiative de Prosper Roche, fondateur de l'Union fraternelle des pères de famille méritants d'Artas, une cérémonie en l'honneur de mères de familles nombreuses eut lieu. Deux mères de 9 enfants reçurent, ce jour-là, un prix de « Haut mérite maternel ». Le diplôme original créé par Prosper Roche est conservé dans la bibliothèque de l'institut de France avec les archives de l'association.
Naissance de la Fête des Mères
http://artas-mairie.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=52&Itemid=71
La mise en place (08/09/1904) d'une société mutualiste, d'abord dirigée vers les pères de famille méritants, qui se tourna très vite, tant l'altruisme de sa réflexion était grand, vers les mères de ces familles méritantes.
L'homme de la situation, fut l'instituteur Prosper Roche. Lui-même père d'une famille de sept enfants, ancien engagé volontaire dans la campagne de 1870/1871. La personnalité du fondateur n'est sans doute pas étrangère aux objectifs de la société : encourager la maternité et citer en exemple des modèles d'éducation.
Ainsi, le 19 mars 1905, les membres actifs de l'Union fraternelle des Pères de famille Méritants, étaient appelés à désigner les deux mères de famille auxquelles seront décernés des prix dits de "haut mérite maternel" et des diplômes d'honneur. Ont été élues :
Madame Joseph Bouvard, née Marie Louise Faure, qui a neuf enfants.
Madame Joseph Philippe née Marie Ogier, qui a également neuf enfants.
La grande fête eut lieu le 10 juin 1906. Cette journée et les initiatives qui y furent prises, sont restées indiscutablement dans l'histoire d'Artas. C'est dans cet esprit, que notre village remet en mémoire en 2006, le Centenaire de la naissance de la Fête des Mères. Devoir de mémoire, ou simple retour aux origines ? Parlons désormais d'une célébration qui mettra en avant la notion de famille : sereine, protectrice, éducatrice et en même temps soucieuse de son importance.
Artas 38
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