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Alfa Romeo participa aux compétitions de Formule 1
en tant que constructeur et motoriste de 1950 à 1988.
Les débuts
1950
ALFA ROMEO TYPE 158
Guiseppe Farina Champion du monde 1950
Fangio
Giuseppe Farina 1950 British GP, Alfa Romeo 158
1950 British GP, Luigi Fagioli, Alfa Romeo 158
Grand Prix de France 1950
Fangio Farina
1951
Champion du monde 1951
Juan Manuel Fangio
Fangio
Alfa Romeo 159
Tipo 159 Alfetta
diecast.org
1/18 Alfa Romeo 'Alfetta' 159 1951 [Exoto]
En 1950 Giuseppe Farina remporte le championnat du monde de Formule 1 dans une Alfa Romeo 158 et, en 1951 , Juan Manuel Fangio le remporte sur une Alfetta 159, une évolution de la 158 munie d'un compresseur à deux étages. Les moteurs des Alfetta étaient extrêmement puissants au regard de leur cylindrée. En 1951, les 159 développaient 420 ch, mais cette puissance avait pour coût une consommation élevée de carburant, de 125 à 175 litres aux 100 km.
En 1952 , face à la concurrence de Ferrari, et au refus d'engagement financier du gouvernement italien, Alfa Romeo se retire de la Formule 1.
Fournisseur de blocs moteurs
Durant les années 1960, de nombreuses petites écuries utilisent le 4 cyclindres en ligne Alfa Romeo : LDS, de Tomaso et des écuries privées alignant des Cooper.
1961
LDS
De Tomaso
1968
Cooper T86 C
Cooper Alfa du pilote Belge Lucien Bianchi.
En 1970 et 1971, Alfa revient officiellement en équipant d'un V8 (dérivé de la version sport équipant l'Alfa Romeo Tipo 33 une troisième McLaren ou March d'usine pour Andrea de Adamich.
1970
MC Laren M14D Zandvoort
Andrea de Adamich
1971
Pour la saison 1976, Bernie Ecclestone, directeur de Brabham, signe un contrat avec la firme italienne. Les futures Brabham BT45 sont équipées d'un V12 conçu par Carlo Chiti qui revendiquait 510 ch contre les 465 du Cosworth DFV. L'écurie a beaucoup de difficultés pour intégrer ce bloc à ses monoplaces et à nouveau, la consommation est le talon d'Achille des Alfa Romeo. De plus, l'ingénieur Gordon Murray se lance dans des conceptions hasardeuses, comme la Brabham BT46 à effet de sol renforcé par un "aspirateur" et la fiabilité du V12 fut plus qu'aléatoire.
1976
Brabham BT45
Carlos Reutemann |Carlos Pace
GP de Grande Bretagne
1978
Brabham BT46 à effet de sol renforcé par un "aspirateur"
Retour comme constructeur
L'Alfa Romeo 177
L'Alfa Romeo 179, utilisée en 1979 et 1980
Sous l'impulsion de Chiti, Alfa Romeo donne son accord à sa filiale sportive Autodelta de s'impliquer totalement en Formule 1. L'Alfa Romeo 177 fait ses débuts au Grand Prix de Belgique 1979 avec Bruno Giacomelli.
1979
Alfa Romeo 177
Grand Prix de Belgique
Bruno Giacomelli
Alfa Romeo 179
Alfa Romeo 179
Patrick Depailler
Patrick décède le 1er août 1980 au cours d'une séance d'essais privés sur le circuit d'Hockenheim au volant d'une Alfa Romeo.
Alfa Romeo reste en F1 jusqu'à la fin 1985 avec pour seuls résultats notables deux pole positions, trois 3e places et deux 2e places. Bruno Giacomelli mena également le Grand Prix des États-Unis Est 1980 avant d'abandonner sur problème électrique et Andrea de Cesaris signa le meilleur tour au Grand Prix de Belgique 1983 après avoir mené les dix-huit premiers tours. Le meilleur résultat global fut la 6e place au championnat constructeurs en 1983.
De nouveau simple motoriste
Alfa Romeo se présente comme motoriste de Ligier en 1987 mais Fiat prend le contrôle du constructeur et annule le contrat. Ligier doit alors se rabattre tardivement sur l'ex-BMW, rebaptisé Megatron.
1987
Ligier JS29
Parallèlement, Alfa fournit, de 1983 à 1987, ses moteurs à Osella. En 1988, afin d'éviter une mauvaise publicité, Alfa demanda à Enzo Osella d'effacer son logo des culasses et la dernière saison du bloc se déroula sous l'appellation d'Osella.
Dès 1985, Alfa Romeo préparait un V10, l'un des tout premiers avec Renault et Honda, mais, encore prévu pour l'écurie Ligier, le projet capota. Alfa se rabat alors sur la série (bientôt mort-née) ProCar et racheta Motor Racing Development (Brabham) afin de concevoir une Alfa Romeo 164 ProCar qui ne courra jamais.
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Klaus Schulze
Klaus Schulze est un musicien allemand , né en 1947 à Berlin percussionniste, puis compositeur, producteur et interprète pionnier de musique électronique, il participe aux débuts de Tangerine Dream, avant de devenir en solo un des plus grands compositeurs de musique électronique.
musique du film "Le Solitaire" (1981)
Klaus Schulze
Album Timewind
1975
C'est le premier album de Klaus Schulze à utiliser un séquenceur.
Il a reçu le Grand Prix du disque de l' Académie Charles-Cros
En juin 2008, en association avec la chanteuse Lisa Gerrard du groupe Dead Can Dance, Klaus Schulze sort l'album Farscape
Album Farscape
Partie de "Liquid Coincidence 2"
Album Rheingold
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Aujourd'hui 02 février c'est la....
Chandeleur
ou
Fête des chandelles
C' est une fête populaire d'origine païenne liée à la lumière, elle correspond aussi à une fête religieuse chrétienne appelée la Présentation du Christ au Temple.
On disait aussi autrefois Hypapante.
Présentation de Jésus au temple
Aujourd’hui, on connaît surtout la Chandeleur en tant que jour des crêpes.
Les crêpes avec leur forme ronde et leur couleur dorée rappelleraient le soleil, ce qui expliquerait que l'on confectionne des crêpes à la Chandeleur, moment de l'année où les jours s'allongent de plus en plus vite. C’est également à cette époque de l’année que les semailles d’hiver commençaient. On se servait donc de la farine excédentaire pour confectionner ces crêpes, qui sont un symbole de prospérité pour l’année à venir.
http://www.france-pittoresque.com/spip.php?article5646
Il existe une symbolique liée à la confection des crêpes, qui consiste à faire sauter les crêpes de la main droite, en tenant une pièce d' or (un Louis d' or) de la main gauche. Cela afin de connaître la prospérité toute l' année.
Nikolaz Le Corré
Mam Goz
On ne doit pas déranger une Bretonne quand elle fait sauter les crêpes !
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RATP
Régie autonome des transports parisiens
La RATP fut créée le 1er janvier 1949, en remplacement de la Compagnie du chemin de fer métropolitain de Paris (CMP) et de la Société des transports en commun de la région parisienne (STCRP), afin de gérer l'ensemble des moyens de transport publics souterrains et de surface de Paris et de sa banlieue, qui étaient assurés par des entreprises privées jusqu'en 1944.
Défilé de bus anciens
Le premier autobus Renault avec son capot alligator, est livré à la compagnie générale des omnibus de Paris. Il dessert la ligne Place de Clichy-Saint Germain des Prés.
1932
RENAULT type TN 6 (fondation Berliet)
RENAULT TN6 A GAZ DE VILLE
La seconde guerre mondiale oblige les transports urbain parisiens à trouver des carburants alternatif (gazogène, gaz de ville) pour remplacer l'essence devenu rare.
Au total, 770 Renault TN 6 furent mis en service. »Réformés » en 1955, ils ne disparurent définitivement du paysage parisien qu’en février 1969: près de 40 ans de bons et loyaux services.
A noter que le TN 6 de la Fondation Berliet a, à son actif, plus de 3 millions de kilomètres!
Miniatures
Edition Atlas 1:50
Solido 1:50
RATP pub Banania et TCL (Lyon)
Solido pub Film Lumière
TN6 C Militaire Solido & Hachette 1:50
L'autobus Parisien Renault TN6 C de 1936, fut réquisitionné en 1939 pour le transport des soldats français vers le front de la "drôle de guerre".
Collection de Cartes Postales Anciennes
Rue Auber
Place de Rennes
Avenue de Clichy
Mairie de Clichy
Boulevard Saint-Martin
1889
Omnibus hippomobile
D' autres types d' autobus RATP
1906
Brillié-Schneider P2
Le premier autobus à essence est présenté au public à l'occasion du salon de l'automobile 1905. Apparaît alors un nouveau véhicule : l'autobus, contraction "d'omnibus automobile".
1927
Renault
1931
Brillié-Schneider type H
1931
Renault TN4A
1955
Chausson
1957
Berliet PCP 10
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